Le site de votre santé sexuelle et de vos droits sexuels

Images ©DR
Images ©DR
Recherche - pipette
Recherche - pipette
rubans roses
rubans roses
Recherche médicale - virus HIV
Recherche médicale - virus HIV
Recherche - SIDA
Recherche - SIDA
Recherche médicale - stétoscope
Recherche médicale - stétoscope

Recherche en sexologie, médecine, santé et droits sexuels

Vous avez publié une recherche sur la santé sexuelle, en sexologue, médecine sexuelle, droits sexuels, éducation sexuelle et aimeriez la faire connaître?
– Vous avez découvert une recherche dont les résultats mériteraient d'être signalés sur ce site?
– Vous cherchez des participants à une recherche, à une enquête?

Faites-le nous savoir et nous publierons vos informations ici.
Contact / Informations:
Ouvert aux chercheurs de tous pays.

image

27/12/2020 – DÉSIR DANS LE COUPLE ET MODÈLE D’EXPANSION DE SOI

Le désir et l'inconscient

Selon ce modèle, un des moyens de «s’étendre» est de former un couple avec un partenaire afin d’intégrer, d’un point de vue cognitif, ses qualités et ses caractéristiques dans sa propre sphère personnelle.

Le texte suivant est extrait d'un article écrit par Stephanie Ortigue et le Pr Francesco Bianchi-Demicheli, paru dans la Revue Médicale Suisse en 2010, mais toujours d'actualité, expliquant les progrès en neurosciences cognitivo-sociales permettant de mieux comprendre les problèmes de couples, comme notamment les troubles du désir.

Le désir, ou la recherche de se compléter

"Depuis Platon, il est admis que l’être humain cherche dans le désir de l’autre une façon de se compléter. Selon le modèle d’expansion de soi, l’être humain est en état constant de recherche d’expansion.

S'étendre en formant un couple. DR
S'étendre en formant un couple. DR

Selon ce modèle d’expansion de soi, le désir d’union avec l’autre peut être déterminé par deux facteurs principaux : le degré d’expansion potentielle du soi et aussi la probabilité de réussite de l’expansion, cette dernière étant souvent reliée à la réussite d’engager une relation intime à long terme avec le partenaire.

Ces deux facteurs, appelés désidérabilité et probabilité, sont des composantes essentielles de relations intimes comme le démontrent de nombreuses études en psychologie sociale. Selon le modèle d’expansion de soi, «les gens cherchent à étendre leur image de soi, pas seulement d’un point de vue physique et matériel (à travers la territorialité, les possessions), mais également en termes de complexité cognitive (par exemple : connaissance), et de leur identité corporelle et sociale».

En ce sens, le désir d’union est un état cognitif et émotionnel complexe qui inclut l’appréciation de l’autre, des sentiments subjectifs, des mécanismes physiologiques qui caractérisent cette intention d’union avec l’autre. Le partage d’informations personnelles intimes et la prise de conscience de points communs entre les deux partenaires peuvent également accroître le désir de l’autre. Les couples qui partagent un nombre grandissant d’informations personnelles ont plus de probabilité de perdurer et de se désirer que les couples qui n’ont plus d’informations personnelles à se partager, et d’autres ont montré une tendance linéaire significative entre la ressemblance entre deux individus et leur attraction réciproque.

Cependant, d’autres études ont également montré que les opposés s’attirent tant ils peuvent se compléter. Les deux facteurs influençant l’attraction sont la désidérabilité, qui peut s’accroître tant avec la similarité que la dissimilarité ; et la probabilité, qui s’accroît avec la similarité et se caractérise par un souhait de développer une relation intime durable. Lors d’une relation intime, le modèle d’expansion de soi suggère que le soi et les autres se chevauchent cognitivement. En d’autres termes : qui se ressemble en partie, s’assemble.

De récents travaux en électrophysiologie et en imagerie par résonance magnétique confirment ce modèle d’expansion de soi dans le désir en montrant que le désir d’autrui active un réseau neuronal comprenant des aires cérébrales impliquées dans la représentation mentale du soi).Le praticien conscient de cette dimension peut suggérer des pistes de rééducation d’intégration de soi dans la relation de couple."

Lire l'intégralité de l'article paru dans Rev Med Suisse 2010; volume 6. 620-624


Recherche: reconnaître précocement les abus sexuels reste difficile

Publié le 17 septembre 2018
image

C'est le résultat d'une mise au point par une équipe de spécialistes et psychiatres d’Amsterdam parue dans le Journal européen de pédiatrie*, comme le rapporte le Journal international de médecine (JIM). Une étude anglaise récente a ainsi révélé qu'un cas sur huit seulement pourrait être signalé aux autorités!

Lire la suite

La mise au point par une équipe de spécialistes et psychiatres d’Amsterdam parue dans le Journal européen de pédiatrie* est alarmante. Ainsi, une étude anglaise récente a révélé qu'un cas sur huit seulement pourrait être signalé aux autorités! C'est ce que rapporte le Journal international de médecine (JIM, 13.08.2018).

Comme le rapporte le JIM: "La dénonciation de la maltraitance par l’enfant est l’indicateur le plus spécifique mais la majorité des enfants garde le secret en raison de sentiments de honte, de faute et par crainte d’être blâmés. "

Lisez l'article du JIM
Les références de l'étude: Clinical practice: recognizing child sexual abuse—what makes it so difficult? European Journal of Pediatrics, September 2018, Volume 177, Issue 9, pp 1343–1350


La pornographie n'est pas pathologique en soi

22/12/2017 – La pornographie est-elle pathologique en soi ? En réponse à cette question, l'Étude du rôle des profils d’attachement sur la relation pornographie–satisfaction sexuelle, parue dans Sexologies, conclut que regarder des images pornographiques n'est pas pathogène en soi, mais est vecteur de réactions différentes chez chaque individu selon ses particularités.

L'étude en résumé

"Objectifs
Cet article interroge l’impact de la pornographie sur la satisfaction sexuelle en fonction des profils d’attachement adulte.

Méthode
Cinq cent quatre-vingt-dix sujets (460 femmes, 130 hommes ; âge moyen : 24 ans), recrutés suivant les méthodes de snowball sampling, ont participé à une recherche en ligne investiguant leur consommation de pornographie, leur satisfaction sexuelle et leur profil d’attachement évalué à l’aide de l’Attachement Style Questionnaire.

Conclusion
Il paraît désormais évident que la pornographie ne puisse être pathogène per se. Si elle peut être vectrice de souffrance et affecter la santé, ce n’est qu’en fonction des particularités de chacun. Des implications cliniques sont envisagées."

Auteurs et titre de l'étude: {B. Gouvernet, T. Rebelo, F. Sebbe, Y. Hentati, S. Yougbaré, S. Combaluzier, A. Rezrazi:
Is pornography pathogen by itself? Study of the role of attachment profiles on the relationship between pornography and sexual satisfaction
Sexologies, Volume 26, Issue 3, July–September 2017, Pages e27-e33
Source: www.sciencedirect.com

SUR LE MEME SUJET

Dans un article paru le 14.12.17 sur Temps réel du Nouvel Obs: "Sexualité masculine : "La pornographie peut aussi bien complexer que rassurer", la composante individuelle de l'influence du porno est bien illustrée à travers divers témoignages d'hommes consommateurs de pornographie.



Regarder du porno peut (aussi) donner la migraine

23/11/2017 - N'avoir de migraines qu'au moment de ressentir de l'excitation sexuelle déclenchée par le visionnement de films porno, cela peut arriver. Tout comme l'activité sexuelle peut provoquer des migraines.

Le lien entre pornographie et migraines est relaté pour la première fois par une équipe de neurologues et sexologues du Kaohsiung Chang Gung Memorial Hospital de la municipalité de Kaohsiung (Taïwan). Ils rapportent ainsi le cas clinique d'un homme âgé de 40 ans, souffrant de telles céphalées dans la revue de neurologie et neurochirurgie Clinical Neurology and Neurosurgery (voir encadré). Il s'agirait d'une réponse anormale à la stimulation visuelle érotique, sachant que la stimulation sexuelle entraîne des modifications du débit sanguin dans les artères intracrâniennes.

Lien connu entre migraine et activité sexuelle

ll s'agit pour l'heure du premier cas documenté de "céphalées pornographiques" (Pornography headache, lire encadré ci-dessous) survenant lors du visionnement de films pornographiques.

Mais sexualité et maux de tête peuvent être liés par ailleurs. Et on ne parle pas des "migraines - prétexte" qu'évoqueraient les femmes ne souhaitant pas avoir de rapports sexuels, mais d'études sérieuses, estimant à 1 % de la population les personnes souffrant au cours de leur vie de céphalées uniquement liées à l’activité sexuelle - au moment de l'excitation ou de l'orgasme, notamment – appelées syndrome de vasoconstriction cérébrale réversible (SVCR). C'est ce que rappelle le médecin et journaliste français Marc Gozlan, qui détaille ce cas clinique, en français, dans un article de son blog.

Quand voir du porno donne mal à la tête © capture Réalités biomédicales
Quand voir du porno donne mal à la tête © capture Réalités biomédicales

Auteurs et titre de l'étude: Pornography headache, Wei-Hsi Chen, Kuo Yen Chen et Hsin-Ling Yin, Clinical Neurology and Neurosurgery, 2018-01-01, Vol. 164, Pages 11-13.
A télécharger ici

Source: Marc Gozlan, blog Réalités médicales, sur le site du monde.fr, 22.11.17

Enquête de prévalence à venir

Il a interrogé l'un des auteurs taïwanais, le Dr Hsin-Ling Yin, qui estime même que le nombre de personnes concernées pourrait être plus important, mais qu'elles ne consultent pas, se soignant simplement à l'aide d'antalgiques. Il indique d'ailleurs préparer une enquête en ligne pour mieux évaluer la prévalence de ce syndrome.

Une forme de migraine connue depuis Hippocrate

Comme le rapporte Margaret J. Redelman, membre de l'Australian Society for Sexologists dans un article intitulé "Et si les migraines liées à la sexualité n'étaient pas une plaisanterie?" (What if the ‘sexual headache’ is not a joke?) paru en 2010 (BJMP 2010;3(1):304), les maux de tête associés à l'activité sexuelle ont déjà été reconnues du temps d'Hippocrate.

Un premier spécialiste les a évoqués dans un ouvrage en 1963 (Wolff, H., Headache and other head pain. 1963, Oxford University Press: New York. p. 450-451.), mais ces migraines semblent avoir été rapportées formellement seulement dès les années 1970.

En 2004, l'International Headache Society (Société internationale de migraine) américaine a classé les migraines liées à une activité sexuelle comme une forme distincte de céphalée primaire.

Les scientifiques ont donné plusieurs noms à ce type de mal de tête: céphalée bénigne, céphalée orgasmique, céphalée primaire associée à une activité sexuelle (PHSA), céphalée coïtale, maux de tête orgasmiques (OH) ou encore maux de tête pré-orgasmiques.

Les hommes sont à 3 à 4 fois plus à risque les femmes, et ces céphalées se produisent le plus souvent au début de la vingtaine, puis autour de l'âge de 40 ans.

Deux types de céphalées dues à l'activité sexuelle

Ces maux de tête peuvent être épisodiques (75% des cas) ou chroniques (25%). Généralement ils bénins et provoqués par une excitation sexuelle due à un rapport sexuel (le plus souvent) ou une masturbation. Il en existerait deux types bien distincts :

  • Le HSA type 1: il exerce une pression qui s'accentue graduellement avec l'augmentation de l'excitation sexuelle.
  • Le HSA type 2: il provoque des douleurs puissantes et lancinantes qui apparaissent juste avant ou au moment de l'orgasme.

Consulter dans tous les cas

Même s'ils sont bénins, ces maux de tête peuvent être extrêmement invalidants, pénibles à supporter et rendre les rapports sexuels peu souhaités, voire indésirables - par peur de la douleur et/ou conduire à des troubles sexuels (du désir, de l'excitation, de l'orgasme). Ils ont donc fréquemment une incidence négative sur la qualité de la vie sexuelle de la personne atteinte et de son partenaire.

Avant tout, il est donc conseillé de consulter un médecin lorsqu'on souffre de telles migraines.

Mal bénin et pronostic favorable

Habituellement, le pronostic de ces migraines est bon, vu qu'il s'agit d'un trouble bénin auto-limitant, disparaissant sans aucun traitement spécifique chez la plupart des patients. Ce pronostic est généralement meilleur lorsque le patient n'a eu qu'un seul ou quelques épisodes de migraine liée à l'activité sexuelle, en particulier si elle n'est pas liée à une autre forme de migraine. Néanmoins, il semble que même parmi les patients souffrant des formes chroniques, 69% avaient eu une rémission.

Source: Margaret J. Redelman, What if the ‘sexual headache’ is not a joke?) (2010, ([BJMP 2010;3(1):304)

E.W. - www.masexualite.ch


Etude: « Sexe, relations... et toi ? - Suisse

Septembre 2017

Etude: Sexualité et transactions sexuelles impliquant des jeunes en Suisse

Comme le rappellent en introduction de l'étude ses auteurs: "Cette recherche, menée de 2015 à 2017 par la HES-SO – HETS-FR et financée par la Fondation OAK, porte sur les transactions sexuelles impliquant des jeunes vivant en Suisse, c’est-à-dire des expériences d’ordre sexuel associées à un échange financier, matériel et/ou symbolique. Elle s’est intéressée au point de vue des jeunes âgé-e-s de 14 à 25 ans dans trois régions linguistiques de Suisse, ainsi qu’à celui de professionnel-le-s concerné-e-s. Elle a permis, premièrement, de mettre en lumière les représentations sociales des jeunes à partir d’un sondage en ligne, deuxièmement, de comprendre les expériences de transaction sexuelle vécues par certain-e-s d’entre eux/elles et, troisièmement, d’identifier les pratiques et besoins des professionnel-le-s."

Page de garde étude "Sexe, relations... et toi?" ©DR
Page de garde étude "Sexe, relations... et toi?" ©DR

Cancer de la prostate : une chimiothérapie ajoutée au traitement hormonal améliore le pronostic

Juin 2017

Le Pr Karim Fizazi, chef du département d’oncologie médicale à l’Institut Gustave Roussy, a présenté l’étude Latitude au congrès de l’Asco (Amercian society of clinical oncology) - qui s’est tenu à Chicago du 2 au 6 juin derniers, rapporte le site egora.fr

Les résultats, majeurs, devraient changer la prise en charge des patients diagnostiqués d’emblée d’un cancer métastatique de la prostate.

Les données de l’essai clinique ont été publiées également dans le New England Journal of Medecine. L'étude a démontré le bénéfice de l’ajout d’une chimiothérapie au traitement hormonal dès le diagnostic. Cela en utilisant de l’abiratérone, une hormonothérapie de nouvelle génération qui empêche la production d’hormones androgènes par les glandes surrénales et la cellule cancéreuse elle-même.

Lire l'article sur egora.fr

Auteurs et titre de l'étude: Abiraterone plus Prednisone in Metastatic, Castration-Sensitive Prostate Cancer
Karim Fizazi, M.D., Ph.D., NamPhuong Tran, M.D., Luis Fein, M.D., Nobuaki Matsubara, M.D., Alfredo Rodriguez-Antolin, M.D., Ph.D., Boris Y. Alekseev, M.D., Mustafa Özgüroğlu, M.D., Dingwei Ye, M.D., Susan Feyerabend, M.D., Andrew Protheroe, M.D., Ph.D., Peter De Porre, M.D., Thian Kheoh, Ph.D., Youn C. Park, Ph.D., Mary B. Todd, D.O., and Kim N. Chi, M.D., for the LATITUDE Investigators*
June 4, 2017DOI: 10.1056/NEJMoa1704174

Le Pr Karim Fizazi, chef du département d’oncologie médicale à l’Institut Gustave Roussy, a présenté l’étude Latitude au congrès de l’Asco (Amercian society of clinical oncology) - qui s’est tenu à Chicago du 2 au 6 juin derniers, rapporte le site egora.fr

Les résultats, majeurs, devraient changer la prise en charge des patients diagnostiqués d’emblée d’un cancer métastatique de la prostate.

Les données de l’essai clinique ont été publiées également dans le New England Journal of Medecine. L'étude a démontré le bénéfice de l’ajout d’une chimiothérapie au traitement hormonal dès le diagnostic. Cela en utilisant de l’abiratérone, une hormonothérapie de nouvelle génération qui empêche la production d’hormones androgènes par les glandes surrénales et la cellule cancéreuse elle-même.

Lire l'article sur egora.fr

Auteurs et titre de l'étude: Abiraterone plus Prednisone in Metastatic, Castration-Sensitive Prostate Cancer
Karim Fizazi, M.D., Ph.D., NamPhuong Tran, M.D., Luis Fein, M.D., Nobuaki Matsubara, M.D., Alfredo Rodriguez-Antolin, M.D., Ph.D., Boris Y. Alekseev, M.D., Mustafa Özgüroğlu, M.D., Dingwei Ye, M.D., Susan Feyerabend, M.D., Andrew Protheroe, M.D., Ph.D., Peter De Porre, M.D., Thian Kheoh, Ph.D., Youn C. Park, Ph.D., Mary B. Todd, D.O., and Kim N. Chi, M.D., for the LATITUDE Investigators*
June 4, 2017DOI: 10.1056/NEJMoa1704174


Besoins en éducation sexuelle des jeunes dans les pays en développement

Il faut mieux répondre aux besoins de santé sexuelle et reproductive des 10-14 ans

Mai 2017

"Un nouveau rapport que publie le Guttmacher Institute analyse les données factuelles déjà existantes sur les besoins en santé sexuelle et reproductive (SSR) des très jeunes adolescents des pays en développement et y apporte des éléments complémentaires. Le rapport inclut une nouvelle étude de données relatives à l’initiation des pratiques sexuelles, au mariage et à la maternité avant l’âge de 15 ans issues d’enquêtes nationales menées dans plus de 100 pays en développement. S’inspirant des résultats de ces enquêtes et de publications sur le sujet, le rapport propose des manières de renforcer les efforts déployés pour répondre aux besoins en SSR des jeunes adolescents." C'est ce que rapporte www.alwihdainfo.com.

© capture d'écran Guttmacher Institute
© capture d'écran Guttmacher Institute

POUR UNE SEXUALITE EPANOUIE PENDANT LA GROSSESSE

EFFET D'UNE INTERVENTION ÉDUCATIVE SUR LA SEXUALITÉ DES COUPLES IRANIENS

Avril 2017

Une étude iranienne, publiée dans le Journal of Sex and Marital Therapy, no. d'avril 2017, a évalué les effets d'une intervention éducative auprès des couples futurs parents sur la qualité de leur vie sexuelle durant la grossesse. Ces effets se sont avérés positifs sur la vie intime des couples ayant participé à cette étude quasi expérimentale.

© estebantroncosofoto0 - pixabay.com, libre de droits
© estebantroncosofoto0 - pixabay.com, libre de droits

Résumé original de l'étude (traduit de l'anglais):

Dans la pratique, la vie sexuelle des couples et leurs besoins pendant la grossesse ont reçu peu d'attention. L'objectif de la présente étude était d'évaluer une intervention éducative prodiguée aux couples pour améliorer leur fonction et leur satisfaction sexuelles.

Echantillon: 128 couples

Cette étude quasi expérimentale a été menée auprès de 128 couples, répartis en deux groupes d'intervention (A : femmes enceintes, B : couples) et un groupe de témoins (C). Après intervention, la moyenne du score combiné de la fonction et de la satisfaction sexuelle des couples était significativement plus élevée dans les groupes soumis à l’intervention par rapport au groupe témoin (P < 0,05). Il semblerait qu’une éducation sexuelle spécifique aux soins prénataux serait efficace.

Auteurs: Masumeh Heidari · Farkhondeh Amin Shokravi · Farid Zayeri · Lire la suiteMasquer · Effat Merghati-Khoei
Demander l'étude complète


Dysfonction érectile après prostatectomie: la piste des cellules souches

DIFFICULTÉS SEXUELLES MASCULINES
DIFFICULTÉS SEXUELLES MASCULINES

07/12/2016 – Comme le rapporte le site Medscape, selon une étude clinique pilote, "l’injection de cellules souches autologues d’origine médullaire dans le pénis permet une amélioration de la fonction érectile chez les patients souffrant de troubles sévères de l’érection après prostatectomie radicale.

L'étude a été présentée par le Pr René Yiou (CHU Henri-Mondor, APHP, Créteil), lors du 110ème congrès de l'Association française d'urologie (AFU).

Pas de solution miracle

«Ces résultats préliminaires sont encourageants. Même si ce n’est probablement pas une solution miracle, cette thérapie cellulaire peut être assimilée à un traitement adjuvant, en permettant aux patients souffrant d’une dysfonction érectile de devenir répondeurs aux inhibiteurs de la PDE5», a souligné le Pr Yiou.

Lire l'article sur Medscape.com

PUBLICITE

Pour tous vos travaux rédactionnels

Votre publicité ici?

Dès 10 fr./semaine

image
video

Ma sexualité - des livres toujours d'actualité

Couverture &quot;Ma sexualité (femme)
Couverture "Ma sexualité (femme)
Couverture &quot;Ma sexualité (homme)
Couverture "Ma sexualité (homme)
image

Suivez-nous aussi sur:

NEWSLETTER

Restez informé de nos évènements et actus

Vous êtes intéressé par les actualités, formations, séminaires et conférences donnés et/ou organisés par www.masexualite.ch?
Alors inscrivez-vous à notre newsletter

Infos et questions
Si vous avez une question, souhaitez transmettre une information ou un témoignage, veuillez nous envoyer un mail à

Organisez vos propres conférences avec nous - www.masexualite.ch

Vous souhaitez organiser une conférence publique, un débat, une soirée privée ou une information dans le cadre de votre institution, association, cercle d'ami/es autour d'un thème concernant la sexualité féminine et/ou masculine et la santé sexuelle?
Ellen Weigand (sur demande et selon disponibilité avec le Pr Francesco Bianchi-Demicheli, médecin sexologue de renom,) se tient à votre disposition.


Nous organisons vos conférences et formations en Suisse

Vous êtes un professionnel de la santé sexuelle et de la sexualité et souhaitez intervenir en Suisse romande?

Nous organisons vos évènements pour vous.

Contact et informations

image

AVERTISSEMENT

Les informations médicales figurant sur ce site ont pour objectif d'informer et ne remplacent pas la relation entre un·e patient·e et sa/son médecin.
En cas de problème ou trouble sexuel persistant, ou d'un autre problème de santé, veuillez consulter un·e médecin!


Toutes les informations figurant sur ce site sont rédigées par Ellen Weigand.

Pour l'heure, il s'agit d'une activité bénévole, ce qui ne permet pas de toujours suivre l'actualité de près.

Les troubles sexuels féminins et masculins

MA SEXUALITE SOUTIENT

Love Live

LOVELIFE
LOVELIFE

image
Soutenez l'UNICEF
Soutenez l'UNICEF
image

Collaborons!

Des commentaires? Des questions? Des suggestions? Une envie de collaboration ou de devenir partenaire de ce site? Alors n'hésitez pas à nous .

image
Soutenez la Ligue pulmonaire
Soutenez la Ligue pulmonaire
Propulsé par le CMS WebForge